François Cavanna : un dernier petit tour et puis s'en va

Ses bacchantes de Gaulois, son regard ombrageux et ses mèches en pétard vont nous manquer. L'écrivain et journaliste François Cavanna est mort mercredi 29 janvier, à l'âge de 90 ans. Son décès suscite de vives réactions, tant de la part de journalistes et d'hommes politiques que d'écrivains ou simples admirateurs de cet homme libre.
Cavanna deviendra au fil des années une référence dans l'humour extrême, sans tabou, notamment à Hara Kiri et à Charlie Hebdo. Grand défenseur des valeurs républicaines et de la langue française, il s'est aussi lancé dans l'écriture. Auteur prolifique d'une soixantaine de livres – dont Les Ritals, un petit chef-d’œuvre – on retrouve ses saillies et son amour du verbe, entre Rabelais et Desproges (qui le considérait comme l'un des plus grands écrivains français) dans de nombreux ouvrages. Il était également traducteur pour des œuvres jeunesse, américaines ou allemandes.  Lire l'article de Livres Hebdo  Lire l'article du Figaro

Un peu de chauvinisme belge

On aime « de » vivre à Bruxelles, on aime bien nos «cousins » belges, mais en fin de compte on reste assez franchouillards, reconnaissons-le. Juste pour remettre les choses en perspective, avec tout le tact dont ils font toujours preuve, voici un joli palmarès que, mine de rien, ils portent à notre attention. Allez, pour une fois, un peu de chauvinisme belgicain:

1. Le palais de justice de Bruxelles est le plus grand tribunal du monde. Avec une superficie de 26 000 m2, il est plus grand que la basilique Saint-Pierre de Rome (21 000 m²). A son inauguration, en 1883, il était le plus grand bâtiment du monde.
2. Nemo 33 à Bruxelles est la piscine intérieure la plus profonde du monde. La fosse de plongée est profonde de 34,5 mètres.
3. Les pralines... Lire la suite

T'imagines les cris d'orfraie si Sarko avait parlé de «réformer un État trop lourd, trop lent, trop cher »...

C'est pourtant ce que vient d'annoncer le président de la République lors de la cérémonie des vœux aux corps constitués, qui a promis des économies « partout où elles seront possibles ». « L’État doit changer pour être utile au pays », a déclaré François Hollande, fustigeant les pesanteurs de la fonction publique. « Un État trop lourd, trop lent, trop cher ». Alors, là, la souris m'en tombe des mains. Si la gauche s'y met...! Oser s'attaquer à une fonction publique qui reste une pépinière de voix aux élections, Pépère remonte dans mon estime !  Lire la suite